Prochainement au Volatil

25/09 – 29/09 : Résidence Le Théâtre Oblique – Théâtre.

« SUZANNE »

« Suzanne » nous présente deux personnages, un homme et une femme dont l’identité et les rapports sont sans cesse questionnés pendant la pièce. Partant de problématiques intimes, la pièce a vocation à être une comédie qui aborde avec légèreté des thèmes profonds: l’amour, la mémoire, la filiation…

02/10 – 06/10 : Résidence Compagnie La Teneur – Théâtre et danse.

« LE MIROIR AUX ALOUETTES »

Le Miroir aux Alouettes est un voyage initiatique. Il nous entraîne sur le chemin de l’illusion et des mystères de l’existence. En ouvrant une porte vers le merveilleux et l’imaginaire, Le Miroir aux Alouettes propose de s’élever et de résister à la captivité par une métamorphose du monde et de soi-même. Il s’interroge à la fois sur les manières de s’extraire de la réalité matérielle d’un espace clos et sur les moyens symboliques de se libérer des carcans, codes, conventions et contraintes inhérentes à notre société. Ce spectacle convoque un instant au rêve, au fantasme, et invite avec humour et poésie à l’escapade et à la libération des corps.

06/10 à 15h : Sortie de résidence Compagnie La Teneur – Théâtre et danse.

« LE MIROIR AUX ALOUETTES »

Chorégraphie et dramaturgie : CHLOÉ BEILLEVAIRE

Interprètes : KATELL BOISNEAU & CHLOÉ BEILLEVAIRE

Scénographie, costumes et accessoires : FLORENCE CARRON

Création musicale : MATTHIEU TOMI

Teaser

09/10 – 13/10 : Résidence Sarah Cassenti – Pratique performative

« NATURE »

La présences de notre corps, libres, s’échappant dans la nature, évoluant au contact de l’eau et de la roche, de la chaleur du soleil sur la peau. De sourires et de connivences. Les Faucons rouges, L’île sous-le-vent, dans le prolongement des croisements et des pivotements participants du Nönude et de Egon.a.

23/10 – 27/10 : Compagnie Clyste – Cirque

« DICTATURE »

Dictature est une création en duo mêlant théâtre physique et cirque. C’est un projet de spectacle dont la tournée sera réalisée uniquement à vélo. Avec leurs corps et quelques objets les deux artistes au plateau viendront interrogées le spectateur sur leur rapport au pouvoir. Mêlant humour, absurde et mouvement c’est une proposition à la fois engagée et poétique. Dictature est un spectacle de rue, un spectacle de proximité, qui s’adresse directement au public en venant le questionner, le provoquer, le faire rire.

30/10 – 03/11 : Compagnie Cellule – Théâtre, performance et musique contemporaine.

« DANS UN FUTURE PLUS OU MOINS PROCHE »

Dans un futur plus ou moins proche est un spectacle qui raconte l’histoire de quatre personnages qui tentent de construire un parlement pendant la fin du monde. Se basant sur les différentes projections apocalyptiques de nos imaginaires du futur, le spectacle explore avec tendresse et humour comment surmonter nos désemparements collectifs pour essayer d’imaginer des futurs heureux. Dans un futur plus ou moins proche s’inspire de nombreux écrits de philosophie politique contemporaine et les cristallise dans cette figure du parlement qui partage de nombreux points communs avec le théâtre, dont le spectacle mobilise tous les potentiels (image, espace, corps, son, voix) pour proposer une fable spéculative et sensible sur notre appréhension du futur.

06/11 – 10/11 : Compagnie Hétérotopistes – Théâtre et clown.

« LA MISE À NU D’ANTIGONE »

Anti est un personnage qui ose exposer toutes de ses pensées – les plus sombres mais aussi les plus naïves. Elle est un personnage qui prouve qu’être révolté ou rebelle ne veut pas dire que la peur est absente, simplement l’importance de ne pas trahir ses convictions est plus importante que de ne pas avoir peur. Avec ce spectacle nous cherchons à réécrire cette fameuse histoire de la tragédie grecque mais avec notre propre langage qui décrit l’univers de la compagnie des Hétérotopistes.

13/11 – 17/11 : Compagnie En brique – Théâtre musical.

« MOI, JE VEUX CHANTER LES VAINCUS »

Moi, je veux chanter les vaincus est l’adaptation pour le théâtre de la lettre de Charles Jeanne publiée en 2011 aux éditions Vendémiaires. Il y fait le récit épique et tragique des journées de juin 1832, où les révolutionnaires républicains tentèrent une insurrection réprimée dans le sang. L’envie de monter ce spectacle vient du regard sur l’actualité politique de ces dernières années et de la volonté de porter un grand récit dramatique d’un événement marquant de notre Histoire, et de notre littéraire puisque cette événement marque un des grand épisodes des Misérables de Victor Hugo.

Deux comédiens se partageraient le plateau, l’un incarnant Charles Jeanne, l’autre soutenant le récit de ce dernier à l’aide d’une batterie et pouvant incarner les différents personnages entourant l’auteur du texte.

20/11 – 24/11 : Compagnie Carré Blanc- Danse.

« QUI ? QUE ? QUOI ? »

Deux générations de chorégraphes se retrouvent pour aborder quatre grandes questions qui traversent la société actuelle et qui seront encore d’actualité dans l’avenir tant elles ne pourront se résoudre aussi rapidement que nous le souhaiterions. C’est pourquoi nous adressons cette œuvre aux plus jeunes.

Le handicap, la diversité, le genre, et le rapport au vivant sont nos questionnements. Les enfants d’aujourd’hui devront remettre en débat et en vigilance ces interrogations pour que nos relations d’humains se colorent enfin de tolérance et d’acceptation de l’autre dans toutes ses différences, y compris de sa propre condition sur la planète.

11/12 – 15/12 : LaÖsa- Cirque et danse

« PRIMITIVE »

Primitive est un projet d’arts vivants qui utilise le cirque contemporain, la danse, le théâtre et le cinéma pour raconter des histoires, dans un environnement où le mystère et le surréalisme sont présents pour inviter le spectateur à se perdre autant de fois que nécessaire. Dans cette pièce, le quotidien est exposé et la scène fonctionne comme un reflet des expériences personnelles, donnant au spectateur la possibilité de se voir représenté, aussi bien dans les situations agréables que dans les malheurs, de manière aussi brute et réelle que dans la maison.

L’œuvre est un cri qui a finalement cessé d’être contenu, comme une invitation nécessaire et imminente à rencontrer notre intimité. Chercher un « endroit » où les couches cessent d’exister et peut-être apprendre à dire adieu à ce qui empêche l’être primitif d’émaner et de nous habiter.

Ensuite, il s’agira de creuser.